lundi 13 juin 2011

Élucubration #01 : Mort lente

Il m'arrive parfois d'être saisie d'un élan de philosophie. Je me sens toujours un peu pathétique après avoir écrit sur un sujet sérieux et profond, parce que les membres de ma famille m'ont toujours dit que la philosphie, c'était pour ceux qui s'ennuyaient et qui décidaient de se perdre dans le "trop compliqué". Très bien, me dis-je, j'ai le droit d'écrire de la philo, de toute façon je m'ennuie !
Aujourd'hui, c'était dans mon cours de mathématiques. (Mes plus sincères excuses à mon enseignent qui aurait probablement préféré que je fasse ma révision de fin d'année.) J'avais terminé mon document, à l'exception d'un numéro qui ne me disait absolument rien qui vaille. Je ne saurais dire pourquoi, je m'égarais souvent dans la brume de mes pensées. Même un terrible effort de volonté ne parvenait pas à m'en extraire. Alors j'ai pris un crayon, une feuille, et je me suis laissée aller.
Mesdames, messieurs, je vous présente... Mort lente.

La vie est une mort lente. Oui, ce n'est pas une blague. La vie est vraiment une mort. Une mort inéluctable, à la fois juste et injuste. Tout le long de son existence, l'homme approche de sa fin, du jour où il expirera son dernier souffle, son ultime râle. Chaque année, chaque mois, chaque semaine, chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde est une nouvelle étape vers la conclusion.
L'humain ne vit pas de plus en plus à chaque anniversaire, il dépérit. Lentement, imperceptiblement au début, mais il dépérit tout de même, quoique les apparences en disent. Telle est la destinée. La destinée, oui, car ce n'est pas un but. C'est un épilogue inévitable, tout simplement, un coup fatal qui attendait son tour dans la file d'attente, depuis le tout premier instant de vie. Ce n'est ni triste ni dramatique. Ça ne mérite aucun apitoiement. Tout le monde ferme les yeux un jour pour un sommeil éternel - une sieste ? - alors tout le monde est, sur ce point, identique. 
Vous qui lisez ceci, vous êtes en train de mourir. Vous qui ne lirez jamais ce texte, vous êtes mourant. Moi aussi je suis mourante. L'univers entier est mourant. Comme les lointaines étoiles qui nous semblent lumineuses mais qui en réalité ont déjà disparu depuis longtemps. Comme tout ce qui a l'air réel et qui ne l'est pas. Comme tout ce qui a vécu mais qui est enterré et retourné à son état initial d'air et de poussière. 
Comprenez-vous la cohérence dans cet incohérence ? Ou l'incohérence dans la cohérence ? Peut-être que oui, peu-être que non. Peut-être est-ce faux, peut-être ne l'est-ce pas. Tout dépend de la signification que l'on donne à ses réalités. Mensonge ou vérité ? Les deux ? Mort ou étape, Paradis ou Enfer, triste ou joyeux, oui ou non, noir ou blanc ? Qu'est-ce que tout cela ? Si l'on décrit la mort, c'est qu'il y a une vie, quelque part, non ? La mort peut-elle exister sans la vie, et la vie sans la mort ? On prend pour acquis que la mort vient après la vie, mais est-ce l'inverse ? Ces deux mots qui décrivent tout ce qui existe ont été inventés pour mieux pouvoir les évoquer. Sauf que ce ne sont que des mots. 
Vie lente, mort lente. 
Ah ah. Ça ne veut rien dire, au fond. Ou tout. 
Mais bon, pour simplifier la tâche, disons seulement que la vie est une vie, que la mort est une mort. Une mort ou la mort ? 
Bref, je vous laisse à cet incohérence. À plus tard.




dimanche 12 juin 2011

Le Sang, la Vie

Je publie un poème pour la toute première fois. J'ai commencé à écrire de la poésie il y a quelques mois à peine, alors que mon âme hurlait son désespoir et que mon coeur saignait incessamment. Je n'avais jamais essayé d'enligner des mots de manière à faire des rimes, à exprimer des émotions, des vies entières, d'une manière aussi métaphorique. Alors j'ai tenté le coup, même si je savais que le résultat ne serait pas harmonieux, uniquement pour extorquer de mon être sa multitude d'insectes voraces et vicieux. J'ai pris un crayon (je trouvais le clavier et l'ordinateur trop impersonnels pour cet exercice) et une feuille de papier, et je me suis lancée. J'ai écris douze poèmes depuis le moment où je rédige cet article, et un seul me semble digne d'être publié ici. Je n'ai jamais fait lire mes poèmes à personne. La peur du ridicule, sans doute. La peur d'être jugée et diminuée par des personnes plus talentueuses que moi.
Mais, aujourd'hui, j'ai envie de vous partager ce poème que j'ai écrit hier, dans la soirée, par l'une de ces illuminations qui ne surviennent qu'après l'épuisement.
Le voilà !

Le Sang, la Vie


Lame pénétrante
Sur peau frémissante
Trajet de sang
Sur albâtre vivant

Larmes de douleur
Échappées du cœur
Hurle la noirceur
Rugit sa peur

Flotte sur l’horizon
La naissance d’une nuit
Teintée de vermillon
Vient le noir fortuit

Dans le labyrinthe
Ruisselle une eau cramoisie
Un filet de maladie
Jusqu’à un océan de plaintes

Murmure une prière
Chante les bonheurs d’hier
Rappelle-toi la mer
Pleure les sourires éphémères

Hélas tes suppliques vaines
Tes lamentations pathétiques
Exploseront hypothétiques
En une inéluctable migraine

Vois le lointain
Oublie l’ivresse pulsatile
La chaleur volatile
Oui, vois le destin

Le sang immortel
Ne cessera jamais sa ritournelle
Ainsi fait la méchante hémophilie
Car telle est la vie

lundi 6 juin 2011

Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'on devient accro sans s'y attendre


Je sais, je sais, être fan d'Anita Blake n'a rien d'original ni d'inovateur. Je suis déjà au courant. Mais je ne peux pas m'en empêcher. C'est que, voyez-vous, ça m'a surprise moi-même. Quand j'ai entamé la lecture du premier tome l'année passée, je ne l'avais même pas aimé. Après avoir lu la moitié, j'ai abandonné. Puis, un an plus tard, je l'ai recommencé, et... c'est devenu une drogue. Littéralement. Dès qu'un temps libre se présentait, je ressentais le besoin de me réfugier dans ma lecture et de ne plus jamais en ressortir (quoique... je pense que ce n'est pas une bonne idée. L'univers d'Anita est plutôt dangereux.). Enfin bref, je suis devenue, du jour au lendemain, une fanatique pure et dure de cette merveilleuse (et très, très longue) série.
Presque tout me plait dans ce bouquin, des répliques bien senties de notre chère réanimatrice, des descriptions morbides et dégoûtantes des cadavres écorchés, allant jusqu'à l'univers inquiétant et complexe des créatures surnaturelles. Sans oublier le maître vampire de Saint Louis, bien sûr. Jean-Claude est un personnage assez marquant. Disons qu'il est assez exhibitionniste pour qu'on se souvienne de lui. D'ailleurs, j'ai un petit extrait à ce propos : "Jean-Claude est un exhibitionniste, mais il aime y mettre un certain décorum."
Tout à fait d'accord. Pour ceux qui ont lu la série, vous me comprendrez très bien. Pour les autres... bah, lisez-la, qu'est-ce que vous attendez ? Avec ce livre, on peut facilement laisser de côté nos idées préconçues sur les loups-garous et les vampires, croyez-moi.
Laurell K. Hamilton est une auteure fantastique. J'espère qu'un réanimateur la relèvera après sa mort et qu'elle continuera la série ! :)
Bon allez, à plus ! Et n'oubliez pas de passer à la librairie !

vendredi 20 mai 2011

Inattendue

L'autre jour, alors que j'étais en pleine annotation pour mon cours de français, j'ai eu une illumination tout à fait inattendue. Je surlignais une séquence explicative à travers une nouvelle littéraire quand elle m'a assaillie. Je n'ai pas eu le choix, je me suis mise à écrire. Mais pas n'importe où, oh non ! J'ai commencé mon texte dans le bas de la page de mon document de travail, espace tout à fait inapproprié, j'en conviens. Sauf que je ne voulais pas perdre mon temps et trouver une feuille de cartable cachée quelque part dans mes choses... J'ai utilisé la première page avec du vide que j'ai eu sous la main !
Ensuite, chez moi, j'ai terminé mon texte, qui est en fait devenu une courte nouvelle. Je ne sais pas si elle est bonne, je ne connais que très peu des critères en la matière. Mais je vais la publiée tout de même, car j'ai envie de la partager. À vous de déterminer si vous l'aimez ou non ! :)

Traquer le traqueur

Je m’en serais bien passée, de toute cette folie, de tout ce sang. J’aurais bien chassé cette odeur de mort avant même qu’elle n’apparaisse. Je serais partie en fuite avant que la nuit ne tombe, dans un lieu introuvable et isolé. Ou bien j’aurais grimpé à un arbre en la regardant filer, en-bas, sans savoir que quelqu’un la guettait. Dès qu’elle aurait disparu de ma vue, je serais descendue en regardant les traces de l’enfer imprimées sur le sol, espérant ne jamais la recroiser, cette impitoyable horde lancée à ma poursuite.
Je soufflerais sur le vent en espérant qu’il s’éloigne le plus possible de moi et qu’il emporte avec lui toutes ses effluves de malheur. Je m’exilerais ensuite dans une grotte égarée au cœur d’une jungle dangereuse, que je boucherais avec des roches et du feuillage. J’attendrais des mois, des années, des siècles, des millénaires, que ce monstre effroyable me quitte pour de bon. Je voudrais être certaine, certaine qu’il ne vivrait plus avant de sortir de ma cachette. Peut-être devrais-je l’éliminer, aussi, comme on le fait si bien et si sauvagement avec les animaux. Je pourrais prendre un fusil de chasse ou encore une lance bien aiguisée, lui transpercer la tête ou le ventre, l’observant soit tomber raide mort, soit se vider peu à peu de son liquide vital. Ce serait une bonne idée. Je serais ainsi rassurée, plus qu’en patientant seulement. Qui sait, peut-être est-il immortel. Ce monstre n’a été recensé nulle part ailleurs, ne figure dans aucune banque de donnée et encore moins dans un recueil d’informations sur les bêtes mystérieuses et incroyables de ce monde. C’est un monstre invisible et très imprévisible, vicieux, cruel. Il n’hésite pas à me torturer quand il en a envie, selon ses humeurs. Je l’endure au gré de ses pulsions démoniaques. Mon Dieu, il m’effraie tellement ! Rien ne me fait plus frissonner de peur que cette immonde créature.
Décidément, il faudrait que je la tue. Mais comment ? Il y a plusieurs manières de retirer la vie à un monstre, mais laquelle est la meilleure, la plus efficace, la plus… définitive ? De nombreuses idées m’effleurent l’esprit, toutes plus alléchantes les unes que les autres. Elles se poussent entre elles en espérant attirer mon attention, me vantant leurs prestigieux mérites. Poignarder ou étrangler ? Fusiller ou égorger ? Décapiter ou lyncher ? Finalement, l’une de ces méthodes sort du lot. Ce sera la fusillade. J’ai d’abord hésité entre cela et la décapitation, pour opter, à la toute fin de mes réflexions, à la première option. Les deux sont certes irrévocables, la fusillade est néanmoins plus sûre et plus simple à appliquer. Et puis, je m’arrangerais pour être très, très près du monstre lorsque j’appuierais sur la détente. Il n’y aurait donc pas de risque à viser au mauvais endroit. Une autre question me vint : cibler entre les yeux ou sur la tempe ? Va pour la tempe.
Je retourne l’arme entre mes mains, l’examinant sur toutes ses coutures, en me répétant sans arrêt que ce sera facile, et que, après, cette bête dévastatrice qui me suit depuis fort longtemps pourra enfin achever de me torturer. J’ai si hâte, je la déteste tant, que le métal du fusil semble me brûler les doigts, en harmonie avec ma fureur ardente.
J’ai cherché pendant fort longtemps le monstre, fouillant les moindres recoins du temps et de l’espace. J’ai fini par le trouver, niché entre les branches inextricables d’un arbre immense. Il ne m’a pas vue tout de suite, alors j’ai grimpé, me suis faufilée dans ce tortueux chemin. Je me suis retrouvée tout près de lui ; j’ai posé le canon contre sa tempe. Je l’ai maudit pour tout ce qu’il m’avait fait, je lui ai susurré à l’oreille qu’il chuterait directement en Enfer, avec ses comparses, je lui ai dit adieu, puis j’ai appuyé sur la détente. Une déflagration assourdissante a retenti, ébranlant l’univers en entier, réveillant toutes les bestioles endormies et faisant frémir les fleurs.

Et enfin, le souvenir de cet homme qui a assassiné ma famille après m’avoir violée, m’a quittée pour de bon. Enfin, j’ai pu me reposer.

samedi 14 mai 2011

Impatience

Parfois, il m'arrive d'avoir des "illuminations", petites phrases ou pensées qui paraissent résumer la mystérieuse énigme de la vie.
Récemment (ce matin, en fait), l'une de ces illuminations m'est tombée sur la tête, comme ça, tout bonnement, sans que je m'y attende.
La vie est impatiente.
La voilà, la petite phrase qui a surgit dans mon esprit en me criant "écoute-moi ! écoute-moi !"
Oui, la vie est souvent impatiente. Elle te projète dans un monde dangereux, dont tu n'es pas immunisé. Elle met des obstacles sur ton chemin, elle fait hurler l'orage autour de toi, alors que tu n'es pas toujours prêt à tout affronter. Elle se fiche de savoir si tu vas t'effondrer ou non, tout ce qu'elle veut, c'est te marteler d'épreuves, encore et encore, jusqu'à ce que tu t'écroules. Il y a des gens plus forts de nature, qui résistent aux assauts de la vie, et d'autres qui s'effondrent peu à peu. Mais toujours il y a des gens qui se relèvent, et qui disent à la vie : "Je suis plus fort que toi, ma vieille, je suis beaucoup plus fort !". Et là, la vie, elle te laisse tranquille, elle te laisse enfin respirer. Alors tu peux escalader des montagnes, toucher la lune, flotter dans une autre galaxie.
En effet, la vie est impatiente.
Mais tu peux toujours la faire changer.

dimanche 3 avril 2011

Toute-puissance

Il y a un moment, par une soirée glacée d'hiver, j'ai eu une idée. Je ne faisais rien de particulier. En fait, je pense que je ne faisais rien du tout. J'étais assise et j'attendais que les occupations tombent du ciel, quand tout à coup j'ai ressenti le besoin viscéral de me réfugier à l'ordinateur et d'écrire quelque chose. J'ignorais quoi, alors j'ai posé mes doigts sur le clavier, et je leur ai ordonné de taper. C'est ce qu'ils ont fait. Voilà ce que ça a donné !

Le Tout-Puissant

Je suis le maître incontesté de l’univers. Je le gouverne, impartial, sans que l’on puisse m’arrêter. Je peux vous aider ou vous nuire, je suis capable de tout. Certains me voient d’un mauvais œil, d’autres me remercient du plus profond de leur cœur. Tout le monde me connaît ; je suis célèbre, responsable de toutes les légendes qui existent sur cette Terre. Il m’arrive de faire le capricieux et de me prolonger, uniquement pour guetter les réactions de ceux qui m’entourent. Il m’arrive aussi de sauter, lorsque l’envie me prend, au-dessus de l’univers qui se déroule tel un parchemin sous mon corps invisible. Parfois je fais marche arrière, parfois je fais marche avant, mais toujours je bouge. Je suis comme un hyperactif : incapable de me tenir en place, je bondis, je me dandine, je bats l’air avec mes bras ou je coure à toute vitesse. Si je ne fais pas cela, je ne suis plus moi, je perds mon identité.
Je contrôle tout ce qui vit, tout ce qui meure, à ma guise. Je sauve des vies et j’empile des morts. Le Monde est pour moi une minuscule maquette et ses habitants en sont les figurines. Comme cela est plaisant d’être moi ! Je suis invincible, personne ne peut m’atteindre. Je suis d’une puissance inégalée ; les gens peuvent me frapper, j’injurier, me maudire, jamais je ne cesserai d’exister. Même lorsque tout cessera, même lorsque tout explosera, je serai là, perché sur mon nuage, à regarder les infinies particules d’océan, de glace et de terre vagabonder dans l’espace noir. Je serai aussi là quand ces morceaux se recolleront pour former un univers nouveau, unique. Je le polirai, je façonnerai son passé, son présent et son futur, comme je l’ai fait jadis avec sa mère. Puis le manège recommencera. Je compterai, je bondirai, je reculerai, parfois vite, parfois lentement.
Je tracerai chaque instant de vie et de mort.
Je suis le Tout-puissant.
Je suis le Temps.


samedi 2 avril 2011

Frustration bien récompensée



Il y a quelques jours, j'ai entamé la lecture d'un roman absolument fabuleux : Le Jeu, de Richard Laymon. C'était la première fois que je lisais cet auteur, et je peux vous assurer que ma longue fouille à la bibliothèque a bien vite été récompensée.
C'est l'histoire d'une jeune bibliothécaire dans la vingtaine, prisonnière de sa routine toujours impeccable. Un soir, peu avant la fermeture, elle découvre, sur son bureau, une lettre à son nom. À l'intérieur, elle trouve un court message - une énigme - signé MJ (Maître du Jeu) et un billet de 50 $. Ce message la conduit à une autre énigme accompagnée d'un billet de 100 $...
Qui est ce mystérieux Maître du Jeu ? Qui exige d'elle toujours plus de courage et d'ingéniosité, et l'entraîne à commettre des actes répréhensibles ?

Alors voilà. Inutile de dire que cette intrigue m'a immédiatement... intriguée. J'été été enveloppée dans ce suspense incroyable, jusqu'à la fin. Vous savez, dans les dernières pages, il y a toujours un "boom" d'événements intenses et ininterrompus ? Et bien j'y étais rendue, quand je me suis rendue comte, en tournant la page, qu'elle ne suivait pas. Je me suis dis "Pas grave, une page manquante, c'est pas un drame." Puis j'ai remarqué, en regardant le numéro de la page, qu'il en manquait en fait vingt-cinq... Ce fut une frustration terrible. Pourquoi ? Pourquoi me faire ça dans un moment aussi angoissant que celui-là ? Ce qui était vraiment terrible, c'était qu'il n'y avait pas d'autres exemplaires à la bibliothèque.
J'ai tout de même décidé, après m'être un peu calmée, de poursuivre ma lecture, même si j'étais un peu perdue. Heureusement, j'ai fini par comprendre ce que j'avais manqué. Et je n'ai pas été déçue !
Comme quoi ce damné roman a voulu jouer avec moi... Non mais, on ne fait pas ça à une lectrice avide de connaître la suite ! Qu'est-ce que c'est que ce mauvais coup ? C'est à croire que l'imprimante a fait exprès de me flanquer une colère noire...